« Du temps de la Key­stone le per­son­nage de Char­lot était plus libre, moins trib­u­taire de l’intrigue. Son cerveau ne ser­vait que rarement; il n’avait recours qu’à ses instincts, qui ne s’occupaient que de l’essentiel: le gîte, le cou­vert, la chaleur. Mais avec chaque comédie à suc­cès, le per­son­nage de Char­lot deve­nait plus com­plexe. Le sen­ti­ment com­mençait à fil­tr­er à tra­vers le per­son­nage. Cela posait un prob­lème, car il était quand même lim­ité par les bornes de la comédie bur­lesque… Je trou­vai la solu­tion le jour où je conçus Char­lot comme une sorte de Pier­rot. »
– Char­lie Chap­lin

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